Alors voici Mon espace personnel avec une histoire que je dois faire pour en français à l'école. Alors la suite se rajoutera au fur et à mesure.

PS: J'aimerais vraiment avoir des commentaires, merci!


Prologue
Un homme s’avança, un paquet de forme irrégulière à la main. En fait, cette boule de tissu n’était autre qu’un enfant qui allait être abandonné par son père. Oui, malheureusement, nous sommes à la foire aux esclaves… Cet homme ne pouvait être une autre personne que ce fermier pauvre et veuf. Tout le monde le connaissait dans son village natal. Leony était un petit village où presque tout le monde là-bas avait perdu un membre de sa famille lors de la Grande Guerre. Cette guerre était en fait un affrontement entre deux pays extrêmement rivaux. Suite à cette guerre, une épidémie fit rage. On ne put la contrôler puisque la plupart des ressources avaient été brûlées lors des invasions. C’est là que le veuf perdit sa femme. Soudain, une voix commença à se faire entendre. On ne pouvait pas clairement distinguer qui était l’interlocuteur, mais c’était sûr que c’était un homme. Les seuls mots compréhensibles entre quelques sanglots furent: combien, bébé, deux ans. Un des hommes à capuches qui était marchand lui donna cinq pièces d’or. Pour ce pauvre monsieur, c’était énorme et il n’aurait désormais plus de bouches à nourrir, à part lui bien sur. Le fermier embrassa pour une dernière fois le bébé emmitouflé et s’en fut. Il n’avait plus personne pour le succéder dans la ferme, mais il pourra au moins rester en vie assez longtemps pour peut-être avoir une deuxième femme. Ça ne l’étonnerait point puisque plusieurs maris sont morts déjà et leurs femmes ne sont pas toutes des petites vieilles bonnes à rien. Peut-être trouvera-t-il une femme bonne à marier qui sera encore capable de concevoir des enfants…

Quelques jours plus tard, les sbires du roi du conté de Myrioni défilèrent à la recherche de potentiels esclaves. Bien sûr, ils prirent des hommes forts ainsi que de belles femmes, mais restèrent bouche-bé devant un petit enfant aux yeux gris. Ce type d’iris était reconnu pour n’exister que dans le nord du pays, vers Leony. Les yeux du bambin les hypnotisèrent et ils ne purent faire autrement que l’acheter. Ils savaient qu’il serait populaire auprès des jeunes filles du château.
Leur voyage du retour ne fut pas facile, des pirates les embusquèrent et prirent deux femmes-esclaves. Les sujets de la majesté perdirent aussi un coffre réservé à l’achat d’être inférieur. Le roi ne sera point content de cette expédition.
Revenus au conté de Myrioni, après plusieurs périples et quelques jours de marche, de bateau et de trot, ils présentèrent leurs trouvailles au roi. Celui-ci devint rouge de colère face à l’incompétence de ses sujets, mais laissa tomber après un bref discours sur l’importance de toujours surveiller aux alentours. Puis, il envoya les plus forts esclaves dans l’armée et les plus frêles avec les serviteurs. Pour ce qui était des femmes, seuls les plus haut placés savaient ce qu’il en avait fait. Puis vint le tour du petit bébé. La première réaction du roi fut de demander pourquoi ses sbires avaient pris un enfant. On lui répondit qu’il avait les yeux de ceux du nord et que les fillettes se jetteraient à ses pieds. Le grand seigneur pensa à ce que ses collègues lui avaient dit et constata qu’en effet, le petit ferait fureur. Il dit alors:
-Que l’enfant soit confié au sorcier! Puisqu’il est beau, forgeons-lui un cerveau à l’égalité de sa beauté! Qui sait, peut-être sera-t-il bon à autre chose qu’être serviteur ou garde.
On entendit plusieurs rires étouffés. Puis, quelques hommes allèrent cogner à la porte d’un certain Grégoire. Ce bonhomme au visage ridé, plissé et un peu flasque ouvrit la porte lorsqu’il entendit des pas venir vers lui. Il alla rejoindre le roi et lui fit une révérence sans défauts.
-Mon roi, dit-il, vous m’avez appelé? Vu le nombre de fois que je dois intervenir, ce doit être urgent!
Ce vieil homme, qu’on appelait Grégoire était grand et mince, on pourrait presque dire maigre. Ces cheveux blancs étaient gras et lissent. Que dire de sa peau? On dirait qu’elle s’est élargie mais n’a jamais retrouvé sa place. En plus de ce corps quelque peu déformé, il a un début de bosse dans le haut du dos. Ça a dût apparaître à force de rester pencher par-dessus de vieux livres que personne ne comprenaient. Et oui, il ne sortait pas souvent de ça pièce personnelle. Premièrement, il n’en avait pas le droit et ensuite, les seules fois où il en avait besoin, c’était pour se laver et aller chercher quelques ingrédients.
-En fait, ce n’est pas SI urgent que cela… Disons plutôt que je vous confie un travail à long terme… à très long terme.
Le lanceur de sort fut un tantinet surpris; ça faisait longtemps qu’on ne lavait convoqué. Mais qu’en plus ce soit une mission à long terme, il se demanda ce que son roi avait pris la veille!
-Puisque ça a l’air d’un travail demandant beaucoup de temps, pourquoi ne commencerai-je pas tout-de-suite? À vrai dire, je m’ennuyais ferme, cloîtré dans mon bureau.
-Crois-moi, tu ne pourras plus t’ennuyer. La mission dont il est question est de tout simplement élever un enfant. Cet enfant n’est encore qu’un bébé, alors ce sera sûrement facile pour toi de lui mettre un semblant de cervelle! En fait, j’aimerais qu’il soit aussi intelligent que beau. Voilà, tu peux disposer, maintenant, je te ferai apporter l’enfant dans quelques minutes.
Le sorcier rejoignit ses appartements et attendit le bambin. Il savait que ce sera difficile et qu’il ne pourra plus rester aussi seul qu’avant, mais en même temps, si le roi l’exigeait, c’était sûrement pour une bonne raison. Peut-être voudra-t-il qu’il mari plus tard, la jeune princesse. Ou bien, deviendra-t-il le fils adoptif de ce Tiran et ainsi dire, l’héritier du trône? Car, par comble de malchance, Il n’a put avoir qu’une fille avant que sa bien-aimée ne tombe malade et ne meurt. Et comme l’exige la loi de ce conté, le dirigeant ne peut avoir qu’une femme ou la vie de ses précédents enfants lui sera prise. Personne ne voudrait perdre le fruit des ses entrailles, mais il y a toujours des exceptions… Des fous ont déjà gouverné d’autres contés et ont troqué des vies pour un héritier. Parfois, il faut faire des choix et s’assurer que ce sont les bons… Là, ce roi ne se sera pas trompé sur le candidat et c’est ce qui fait de lui un grand homme!



Chapitre 1

Bonjour, je me présente: Nilrem, serviteur du château et tout particulièrement du sorcier appartenant au roi. D’après moi, je suis né pour le servir car depuis mon enfance, je dois lui obéir au doigt et à l’œil. Ça devient déjà lassant après une année complète, alors essayez d’imaginer ce que cela peut être après 15 ans… En plus, je ne peux pas m’en défaire, puisqu’il est mon seul ami. Il est le seul à me comprendre. Mais ce que j’aime de mes moments avec lui, c’est surtout que j’apprends tout le temps, mais parfois, la serpillère m’en dissuade… Mon meilleur ami se nomme Grégoire. C’est un bien joli nom, mais pas très fréquent! Le malheureux a perdu sa femme après une attaque dans son village natal. Ce qui est encore pire, c’est que son épouse était enceinte lors de l’incident. Ah! Pauvre Greg! Je crois qu’il ne s’en remettra jamais. Heureusement que je suis là, moi, le beau Nilrem. Pas besoin de me réprimander, je sais que je suis vantard… Mais il y a une raison. J’ai les yeux gris et… disons que ce n’arrive pas très souvent dans ce coin de pays. Ça me donne un certain charme. Bien sûr, il y a aussi la bonne de la princesse, mais ce n’est pas pareil. Ses yeux ont une couleur plus verdâtre que les miens et avec sa chevelure d’un ton auburn, elle contraste beaucoup des autres. Si cela peut paraître ingénu, je dois cependant m'avouer que mon cœur bat jusqu’à cette jeune femme…
-Aaaaaaaaaaaah!
Ah! Encore cette capricieuse Capucine. Elle ne pourra jamais cesser de crier, cette princesse? À chaque mécontentement, elle pousse un de ces cris… Mais si je me mettais à le dire à voix haute, vous pourriez voir ma tête rouler au sol, je peux vous l’assurer. Ouf, je ferais mieux de me diriger vers le cabinet de «Papi-sorcier». Joli surnom, non? Bien sûr, je ne lui dit pas directement… Je ne suis pas méchante tout de même! Mais j’aime bien le taquiner en lui disant qu’il pourrait bien être mon grand-père. Lorsque je me rendis devant la porte de la chambre de mon vieux compagnon, je cognai trois coups à la porte et entrai. Pas besoin de la permission pour rentrer dans ta deuxième chambre. Oui, j’y allais tellement souvent que c’était devenu ma seconde demeure. Ah, tiens, Greg était assis sur sa veille chaise brune et dormait paisiblement: Une autre raison d’entrer sans une réponse.
-Grégoire, criai-je assez fort pour qu’il se réveille. Allez debout vieux paresseux! As-tu oublié nous étions quel jour? Il me fit signe de la tête qu’il ne savait pas de quoi je parlais, alors je continuai. Nous sommes le jour de l’anniversaire du roi! Alors j’espère que tu as préparé quelque chose en son honneur, parce qu’on m’a fait savoir qu’il serait fâché si ce n’était pas le cas.
Il releva sa tête et me regarda d’un œil endormi et fatigué de la vie. Je connaissais bien cet air… Celui du «fait-le toi-même, j’ai étudié toute la nuit, je n’ai pas la force». Il fallait vraiment que je fasse tout moi-même? Mais j’ai déjà du travail, moi! Des fois, je me dis qu’être vieux doit être extraordinaire, tu n’as rien à faire et refile tout aux plus jeunes.
-Oui, oui, je sais, vous êtes trop fatigués… Sauf que je n’ai pas juste ça à faire, moi! Je dois déjà installer les décorations dans la salle de réception. Ensuite, je dois nettoyer l’entrée, et pour terminer, je dois enlever les mauvaises herbes des champs d’herbes-fines. Pensez-vous que j’ai le temps de faire votre travail si je ne suis même pas sûr de pouvoir faire le mien? Ayez un peu de bon sens quand même! Je suis peut-être serviteur, mais pas au risque de faire une crise cardiaque à cause que j’ai fait le travail de tout le monde. Alors s’il vous plaît, pourriez-vous écrire un petit discours de mille mots pour ce soir? Vous aurez assez de temps pour vous reposer avant la réception si vous vous y mettiez tout-de-suite.
Un grognement se fit entendre et je décidai de sortir avant que mon ami ne réplique. Rendu dans le hall, je pris le balai que j’y avais déposé et commençai à faire mes longues tâches…

-En ce jour bien spécial, il y a 52 ans, un homme est né. Cet homme, j’en suis sûr, n’aurais jamais prédis qu’il deviendrait le roi d’une riche ville! Et c’est à la sueur de son front qu’il a défriché les premières terres de cette superbe patrie. Vous croyez tous le connaître et vous vous identifiez à lui, mais personne ne pourra jamais l’égaler…
Ce discours continua pendant encore environ dix minutes. Grégoire avait suivi à la lettre les instructions, il a même trouvé une façon d’arrêter sa phrase doucement, à 1000 mots pile! Compter fut quasiment moins ennuyant que le discours-même, vous pouvez vous imaginer ç’aurait été quoi que de l’écouter convenablement? Quand le magnifique parchemin eut été lu de la tête aux pieds, le roi s’asseya sur son trône orné d’or. Prenant un air décontracté, il annonça alors que la fête pouvait commencer et que la bière coulerais à flot! Sur ces mots, la musique commença et la plupart des invités se rassemblèrent au centre de la grande salle pour s’amuser et festoyer.
Je rejoignis Grégoire et le félicitai pour son «beau texte très enivrant», ce qui était totalement faux. Il fit une grimace et m’expliquai comment l’inspiration ne fut pas de la partie. Je le comprenais à cent pour cent, moi non plus, ce n’était pas mon fort, l’écriture.

Me rendant dans ma chambre après la fête, tout était silencieux. Normal, tout le monde était saoul. Alors j’allai me coucher et commençai à rêver de voler. Je volait de plus en plus haut et ça continuait. Je ressentais l’air filer sous moi et le paysage était à couper le souffle. Une colonie d’oiseaux passa sous moi, une autre au dessus. Je me sentais comme si deux grandes masses d’air me soutenais dans les airs pour ne pas que je touches le sol. Je me sentais LIBRE! Plus de maître, plus de chaîne à mes pieds et plus de roi pour me gronder dessus. Je vivais un rêve! Mais, ce n’était que ça, un rêve… Je me réveillai doucement et remarquai que le soleil était déjà levé. Et puis flûte, j’étais en retard! J’enfilai un sur-vêtement en deux temps, trois mouvements et courus dans les couloirs du château, puis m’arrêtai brusquement. Grégoire était en train de parler avec son Altesse au lieu d’être dans son bureau. Ça ne me fera pas de mal d’écouter… pensai-je. Alors je me dissimulai derrière une poutre et tendis l’oreille. Les seules phrases que le roi déclara assez fort pour que je puisse entendre, inquiétèrent: «Nous sommes en temps de guerre et j’aurai besoin de toi pour nous protéger, Grégoire. Est-ce bien clair?». C’était court, mais ça en disait long sur le travail ardu qui s’en venait. Pour ne pas me faire remarquer, je recourus en directions du bureau du sorcier et entrai. Je me mis aussitôt à l’ouvrage en passant le balais. Aucun doute, il ne me dira rien et ne saura pas que je l’ai écouté, je suis bien trop subtil, pensai-je.
Quand mon grand ami entra dans la pièce, il avait l’air maussade et déprimé. Je lui demandai alors pourquoi était-il aussi triste et à ma grande surprise, il me répondit ce que je voulais entendre.
-La guerre s’en vient vers nous. On va avoir du pain sur la planche, mon petit. Je suis le seul sorcier du conté de Myrioni et que tu es mon serviteur, nous allons devoir préparer beaucoup de potions, toi et moi. Cela se pourrait aussi qu’on ne dorme pas pendant plusieurs jours, alors prépare-toi, ce ne sera pas facile!
Il me donna une bonne claque dans le dos pour m’encourager. En fait, je n’en avais pas terriblement besoin… La jeunesse, nous, on s’y connaît en matière de nuits-blanches!

 
Chapitre 2

Dans la forêt entourant le village, il y avait une multitude de plantes et d’animaux. Nous nous en servons, mon maître et moi, pour les potions qu’on pourrait appeler… Magique. Ce ne sont peut-être pas les spécimens les plus rares que nous avons ici, mais ça coûte beaucoup moins cher au roi de les cueillir que de les acheter.
Alors voilà, c’est ce que nous ferons aujourd’hui.Je vois encore Grégoire me dire cela quand j’étais tout petit… : «Étape numéro un: on recherche les spécimens qu’on a besoin pour les potions de force, de vue d’aigle et de prévoyance. Étape numéro deux: cueillir ces plantes ou tuer les animaux que nous avons tant besoin. Étape trois: Faire les potions et les tester.» Ça peut paraître insignifiant à faire, mais quand tu dois pouvoir donner de tes miracles à chaque personne capable de se battre, ça commence à faire lourd sur les épaules! Je ne pourrais vous dire combien de préparations nous avons put faire, mais pour vous donner une idée, il nous a fallu quinze chaudrons pour une sorte de préparation. Et dire qu’elles prennent au moins deux jours à cuire! Mais quand il est question de guerre, pour le roi, chaque personne compte et il ne permettrais pas que quelqu’un se défile devant les troupes ennemies.
Donc, imaginez des adolescents et des vieillards participants dans un champ de bataille. Vous ne trouvez pas ça un peu cruel? Bien sur, je participerai à ce grand moment aussi, mais aucunement de la même façon que ces fantassins. Je serai dans les cuisines spécialement conçues pour mon ami et moi à préparer d’autres potions pour guérir les blessés. Par la suite, Grégoire viendra les rendre magiquement utilisable peu de temps après. Je sais, c’est injuste pour les autres. Sauf qu’eux n’ont pas à être serviteur de monsieur ou de madame très exigeante. C’est comme un peu une douce revanche sur leur enfance. Malgré que je ne plains pas de devoir servir Greg. Oui, il est exigeant, mais disons qu’il y a plus malheureux que moi dans ce château!
Bref, tout le monde s’active et je vais passer jour et nuit à fabriquer des liquides de couleur arc-en-ciel. Pendant ce temps, Grégoire va ensorceler les armes tels que les épées, les flèches, les haches et les marteaux. Ce sera une grande guerre encore plus puissante et meurtrière que la première déclarée quand j’étais à peine né. Mais si notre sorcier, en l'occurrence, Greg, venait à tomber, nous serions morts après quelques heures seulement. Et oui, dans chaque village, ville ou conté, il y a un sorcier. De temps en temps, il y en a même deux par royaume, mais ce ne sont que les plus riches territoires qui peuvent se le permettre.

-Une lettre est arrivée, sir. Elle est adressée au sorcier du château, honorable majesté, dit un messager.
Le roi empoigna la lettre et tenta de l’ouvrir mais le sceau qui scellait l’enveloppe de voulait résolument point se décoller. Puis, après maintes tentatives à déchirer, brûler et tremper le papier, Sa majesté soupçonna qu’elle avait été magiquement scellée. Pour en avoir le cœur net, il demanda à son plus proche conseiller, le sorcier, mon maître, d’ouvrir cette lettre. Quand elle fut ouverte, une fumée âcre et rouge s’en dégagea. Quand cette poussière retomba et qu’on put regarder devant nous, un homme assis sur un tabouret apparut mais n’avait pas l’air de remarquer notre présence. Tout en écrivant, l’homme mystérieux commença à lire sa lettre à haute voix.
-Bonjour, je me nomme Brador et je viens du peuple voisin… Guildy. Oui, nous sommes en guerre contre vous, mais moi, je le suis contre Grégoire. Mon frère était un petit égocentrique quand il était jeune. Il me suivait partout, moi, son grand-frère. Il est même entré dans l’école de la magie parce que j’y était. Il a toujours eu besoin d’un guide… Non, plutôt d’une lumière pour lui montrer le chemin. Mais parfois, cette lumière ne veut pas que tout le monde la suive. Il toussota. Alors voilà, mon roi veut te rencontrer pour que tu puisses venir avec moi, ta lumière. C’est peut-être précipité, mais il faut qu’on parle. Il y a aussi une autre possibilité… L’homme arrêta d’écrire un instant comme s’il cherchait ses idées puis continua. Si tu n’es pas encore là d’ici trois jours, un sort de localisation sera lancé sur toi. Tu ne pourra fuir, à moins de mourir, ce qui serait très embêtant pour le reste de ton pauvre petit village. Plus de sorcier pour protéger leur conté du nôtre. Tu te rends compte de la panique? Et si on te poursuivait, plusieurs des agents du mon château viendraient pour te détruire.
Soudain, l’enveloppe se désintégra et l’homme suivit le même chemin.
Toutes les personnes dans la salle devinrent blancs. Sûrement que je l’était aussi puisque les déclarations que l’homme avait fait étaient déroutantes. Plus habitué que moi, le roi et et les serviteurs de celui-ci, Grégoire commença à parler de sa vieille voix quelque peu rouillée et aigüe.
-Je n’irai pas là-bas et je ne changerai pas d’avis. Vous voyez, j’ai un plan. Il est peut-être un peu risqué, mais c’est tout de même mieux que de se laisser prendre au piège dans le château ennemi. Le roi eu un soupir de découragement. Il savait de quoi mon ami parlait, mais pas moi.Puis, Greg continua Oui, seigneur, je parle bien de ce que vous croyez. Grégoire me fit signe d’approcher et je pris quelques secondes avant de remarquer qu’il me pointait. Alors, j’approchai et lui fit une petite révérence. Mon garçon, l’heure est grave et je n’ai que très peu de temps pour faire ce qui nous sauvera tous. Pendant les trois prochains jours, tu devras bien m’écouter et faire de ton mieux avec tout ce que je te monterai et que tu devras par la suite exercer. Ah, ça me peine de devoir te mettre tout ça sur les épaules, mais tu vas devenir le nouveau sorcier du conté de Miriony dans trois jours.
J’en restai bouche-bée. Mon cœur se mit à battre de plus en plus vite et je tombai dans les pommes.
 

Occupé pour le reste

Occupé pour le reste

J'ai lu le PROLOGUE ainsi qu'une partie du Chapitre 1 et je trouve l'histoire passionnante.

Merci, Shrek! Me reste plus qu'à la continuer, mais pour cela, il me faudrait de l'inspiration...

Bonne chance, alors !

Merci, j'en aurai bien besoin, tu peux me croire!

Euh. J'sais pas trop quoi dire, en terme d'incipit, c'est pas trop mal, si tu comence un " roman " tu as bien défii le temps, les lieux et les personnages. En revanche, faudrait fairz attention a la cohérence de ton récit et a ne pas faire d'anachronisme. Un m'as le plus choque " Eh merde " Tu crois vraiment que les serviteurs, même au moyen-age, utilisaient ces mots ? J'en doute fortement.

Breef.! Sinon c'est pas trop mal. Ah non pardon, pour moi la fonction de l'incipit qui consiste a donner envie de lire la suite est trop faible. Tu n'as pas planté d'intrigue assez forte. Alors moi franchemene,t j'ai pas beaucoup envie de voir la suite...

Mais j'admet que tu as un certain style d'écriture... (^

Voilà.

Merci... >.<'''
En fait, l'intrigue vient au chapitre 2... Et c'est LÀ que ça devient intéressant.
Et je sais très bien qu'au niveau cohérence, c'est pourri...

Nouvel autre bout de l'histoire

HAHA!!!! J'ai édité et donc, maintenant, c'est plus facile à comprendre *fixe Tity*
Aussi, le prologue, le chapitre 1 et un peu du deux a été allongé!!!!!!!!!!!!!!!!

Bonne lecture!